Les dix conseils contre les cambriolages

 

  • 1) Protéger votre domicile :
  • équipez votre porte d’un système de fermeture fiable, d’un viseur optique, d’un entrebâilleur;
  • équipez votre domicile d’une alarme (hurlante intérieure/extérieure ou reliée à une société de sécurité ou à votre téléphone portable) ;
  • renforcer vos volets et fenêtres ;
  • installez des détecteurs de présence ;
  • fermez votre porte à clé durant votre absence, la nuit et faites attention la journée ;
  • fermez votre portail à clé, surtout la nuit (et la voiture est verrouillée dans la propriété) ;
  • l’été, ne laissez pas tout ouvert (pas fenêtres et volets en même temps)
  • quand vous prenez possession d’un nouveau domicile, changez les serrures (même chose si perte clés) ;

 

  • 2) Simulez une présence à votre domicile :
  • en cas d’absence de quelques heures, laissez une lumière ou la télévision allumée ;
  • installez un programme de lumière pour certaines heures ;

 

  • 3) Ne laissez pas le courrier s’entasser ou la pelouse trop pousser :
  • aidez-vous entre voisins pour le courrier ou faites-le suivre ;

 

  • 4) Rangez vos clés de voiture (pour éviter le home jacking)
  • bannissez le vide-poche ou le crochet dans l’entrée ;
  • rangez les sacs à main dans un placard ;

 

  • 5) Cachez vos biens de valeur :
  • trouvez un endroit autre que la chambre des parents ou la salle de bain pour cacher les bijoux ;
  • ne gardez pas trop de fortes sommes à votre domicile (notamment artisans/commerçants) ;
  • au pire, équipez-vous d’un coffre (dans un endroit non visible de visiteurs ) ;

 

  • 6) Restez discrets sur vos périodes d’absence :
  • ne laissez pas d’annonce sur votre répondeur, sur le mur facebook ou par tweet ;
  • faites un transfert d’appel de votre ligne fixe sur votre portable ;
  • ne révélez pas aux démarcheurs (physiques ou téléphoniques) vos absences ;
  • prévenez un proche ;

 

  • 7) En cas d’absence, adhérez au dispositif « opération tranquillité vacances » :
  • c’est gratuit, simple (formulaire à télécharger sur le site internet gendarmerie ou dans votre brigade) ;
  • cela fonctionne toute l’année (pas que pendant les vacances scolaires) ;
  • associez un proche ou un voisin qui viendra contrôler de temps en temps (en plus de la gendarmerie) ;
  • ça marche : en 2010, moins de 1% des propriétaires ayant souscrits ont été cambriolés ;

 

  • 8) Faites le 17 immédiatement en cas d’événements suspects
  • en cas de démarchage suspect, de repérage (à pied ou en véhicule) dans votre quartier ;
  • quand vous voyez des personnes enjamber une clôture ou passer en véhicule avec des cagoules ;
  • soyez le plus précis dans les descriptions (véhicules, personnes) et restez en lignez si besoin ;
  • la gendarmerie travaille 365/365 jours (une patrouille est déjà dehors ou peut sortir rapidement) ;

 

  • 9) Ne laissez de visiteurs se promener dans votre domicile :
  • méfiez-vous de tout le monde (femmes, enfants, professions rassurantes…) ;
  • exigez toujours une carte professionnelle (gendarmes, policiers, commerciaux, facteurs, éboueurs…) ;
  • n’allez pas vérifier la présence de votre argent ou de vos bijoux en présence de visiteurs ;

 

  • 10) Si vous êtes victimes de cambriolage :
  • ne touchez à rien et appelez immédiatement votre brigade ou faites le 17 ;
  • si les cambrioleurs sont encore à l’intérieur ou vous réveillent, gardez votre calme, ne prenez aucun risque et retenez le maximum d’éléments d’identification (descriptions morphologique et vestimentaire, accent, paroles…) ;
  • faites opposition sur vos moyens de paiements s’ils ont été volés ;
  • venez déposer ensuite plainte à la brigade en amenant tous les documents nécessaires (assurance,

réglement

Aujourd’hui, en France, plus de 4 millions de personnes souffrent de mal logement et près de 7 millions sont touchées par la précarité énergétique.

Afin de répondre à ces problématiques, Histologe offre la possibilité de décrire les problèmes rencontrés dans un logement, d’en estimer la criticité et d’accélérer sa prise en charge.

Cette plateforme numérique gratuite en ligne et sans besoin de téléchargement est facilement accessible depuis un ordinateur, une tablette ou un smartphone pour un occupant ou un tiers qui souhaite signaler un logement.

C’est une procédure simple puisqu’en quelques clics on peut saisir les différents désordres dans le logement.

La prise en charge est vaste puisqu’elle englobe l’espace de vie, le confort du logement, la propreté du logement, l’état du bâtiment ainsi que la sécurité des occupants.

Je suis un locataire, un propriétaire, un élu ou autres et je souhaite signaler un logement sur Histologe : https://histologe.beta.gouv.fr

 

 

Application « Ma Sécurité »

Application « Ma Sécurité »

Vous êtes victime de violence, d’un vol, d’une escroquerie ? Vous vous posez des questions sur votre sécurité ? Vous recherchez des conseils ? La nouvelle application Ma Sécurité vous vient en aide et vous propose la solution la plus adaptée à votre problème.

Un gendarme ou un policier vous accompagne 24h/24 et 7j/7

L’objectif de ce nouvel outil est de répondre le plus rapidement possible à vos différentes interrogations et demandes, tout en simplifiant vos échanges avec la Police et la Gendarmerie.

Les services proposés par l’application Ma Sécurité vous offrent une réponse instantanée et personnalisée. En effet, un tchat disponible 24h/24 et 7j/7 vous permet de communiquer de manière instantanée avec la gendarmerie ou la police la plus proche de chez vous. Celui-ci répond à vos questions, vous accompagne et vous guide vers la solution la mieux adaptée.

En cas d’urgence, l’appel au 17 reste impératif.

Une application simple à utiliser qui s’adresse à tous

Ma Sécurité s’adresse au grand public et complète l’offre habituelle de la Police et de la Gendarmerie. L’interface de l’application vous présente quatre onglets : Accueil ; Actualités ; Conseils et Numéros utiles. Sur ces pages, diverses fonctionnalités vous sont proposées :

  • Appels d’urgence ;
  • Signalement ;
  • Démarches administratives ;
  • Actualités locales et/ou thématiques ;
  • Fiches conseils de sécurité ou de prévention sur les thématiques qui vous intéressent (habitation, famille, sécurité routière, numérique, harcèlement, violences sexuelles et sexistes…).

Ma Sécurité, au plus proche de vos démarches

Pour faciliter vos démarches avec les commissariats et gendarmeries locales, une cartographie des points d’accueil vous est présentée. Celle-ci regroupe leurs coordonnées et horaires d’ouverture et vous offre la possibilité de prendre rendez-vous directement depuis l’application.

Vous pouvez aussi être informé par des notifications des actualités locales concernant la sécurité sur les communes de votre choix.


NOUVEAU : l’application « Ma sécurité » au service des usagers dans les transports en commun

À l’occasion de la journée du transport public, le 20 septembre, l’application « Ma Sécurité », disponible sur l’ensemble des plateformes de téléchargement, évolue pour accompagner davantage les millions des personnes qui prennent chaque jour les transports en commun.

La catégorie de conseils « sécurité routière » devient « Transports et mobilités » pour intégrer d’autres vecteurs de mobilité tels que le train, le bateau et l’avion.

Dans cette catégorie, de nouvelles fiches  conseils  relatives à la sécurité dans les transports scolaires, à la prévention des violences sexuelles et sexistes dans les transports en commun et les risques ferroviaires font leur apparition.

De plus, les utilisateurs de l’application recevront 1 à 2 fois par semaine des notifications conseils relatives à la sécurité dans les transports de tous types.

La rubrique « Besoin d’aide » est également mise à jour pour informer les utilisateurs de l’existence du service d’alerte 3117 de la Sûreté ferroviaire SNCF.

Ce service est mis à disposition des utilisateurs des transports ferroviaires et métropolitains qui sont victimes ou qui signalent une situation présentant un risque pour leur sécurité ou celle des autres voyageurs : violences sexuelles et sexistes, objets suspects, violences ou menaces, vols, ou tout autre fait qui nécessite d’être signalé. Disponible 24/7, par téléphone au 3117 ou par SMS au 31 177, il permet d’orienter victimes et témoins vers la prise en charge la plus adaptée en lien avec les forces de sécurité intérieure ou les équipes opérationnelles de sûreté de l’opérateur de transport.


N’attendez plus et téléchargez gratuitement l’application Ma Sécurité

► Google Play

► Apple Store

 

STAYING ALIVE, UNE APPLICATION POUR SAUVER DES VIES ET DEVENIR BON SAMARITAIN

Gratuite et disponible pour iOS et Android, l’application mobile Staying Alive cartographie les défibrillateurs cardiaques recensés en France et propose des tutoriels sur le comportement et les gestes de premiers secours à adopter en cas d’arrêt cardiaque. Par ailleurs, une nouvelle fonctionnalité a vu le jour en 2016 : la possibilité de s’inscrire en tant que Bon Samaritain. Ces citoyens sauveteurs et volontaires gardent la géolocalisation de leur smartphone activée, et peuvent être sollicités pour intervenir sur un arrêt cardiaque à proximité en attendant l’arrivée des secours, que ce soit en allant chercher un défibrillateur ou en commençant à prodiguer un massage cardiaque s’ils sont formés aux gestes qui sauvent.

Staying alive

Seulement 8% des victimes d’arrêts cardiaques en France sont sauvées. Un taux qui est 4 à 5 fois plus élevé dans les pays dont les lieux publics sont équipés en défibrillateurs automatiques externes (DAE), et la population formée aux gestes qui sauvent*. Le défibrillateur est un appareil qui délivre un choc électrique pour relancer le cœur en cas d’arrêt de celui-ci.

La France compte entre 100.000 et 130.000 défibrillateurs. À la disposition de tous, ils sont installés dans de nombreux lieux publics ou recevant du public (restaurants, cinémas, trains, rues…), des entreprises, des immeubles… Le défibrillateur est très simple d’utilisation, même par un enfant, grâce aux consignes données par l’appareil. Il est sans danger pour la victime comme pour l’utilisateur. Les sapeurs-pompiers peuvent être amenés à s’en servir, mais n’importe qui peut utiliser un défibrillateur sur une victime de malaise cardiaque même en n’ayant aucune notion de secourisme.

*Source : Fédération française de cardiologie

Staying Alive, l’application mobile pour repérer les défibrillateurs

Staying Alive est une application mobile développée par AEDMAP pour cartographier les défibrillateurs en France et dans le monde. En activant la géolocalisation sur leur smartphone, les utilisateurs peuvent voir les 10 défibrillateurs les plus proches d’eux en fonction de l’endroit où ils se trouvent. Ils ont également la possibilité d’ajouter des défibrillateurs, ou d’en confirmer la présence ou l’accessibilité.

L’application propose également des tutoriels sur les gestes qui sauvent, avec des vidéos, textes et schémas. En cas de besoin, l’utilisateur peut utiliser le mode « urgence » de l’application, qui lui explique alors les étapes à suivre :

  • Alerter : appeler les secours en composant le 112 ou le 18
  • Masser : l’application explique la position et le rythme à adopter pour effectuer le massage cardiaque. Ce geste est complémentaire à l’utilisation d’un défibrillateur.
  • Défibriller : bien que le défibrillateur donne des consignes très claires, l’application précise où placer les électrodes sur la victime et comment se comporter. L’utilisateur peut utiliser Staying Alive pour connaître la position des DAE à proximité, et envoyer quelqu’un en chercher un.

Télécharger l’application Staying Alive :

SUR GOOGLE PLAY (POUR LES SMARTPHONES FONCTIONNANT SOUS ANDROID)

SUR L’APP STORE (POUR LES APPAREILS APPLE FONCTIONNANT SOUS IOS)

Logo Bon Samaritain

Devenir un Bon Samaritain pour sauver des vies

Ayant créé Staying Alive dans un premier temps pour cartographier les défibrillateurs, AEDMAP a décidé de compléter le service en faisant appel à des secouristes susceptibles d’intervenir sur les arrêts cardiaques en attendant l’arrivée des sapeurs-pompiers ou du SAMU. Ces secouristes, appelés Bons Samaritains, sont des citoyens inscrits sur l’application Staying Alive, qui peuvent être alertés par les secours et guidés vers une victime d’arrêt cardiaque située à proximité pour lui prodiguer un massage cardiaque ou aller chercher un défibrillateur au plus vite.

En cas d’arrêt cardio-respiratoire (ACR), chaque minute qui passe représente 10% de chances en moins de sauver la victime. Or, le délai moyen d’intervention des sapeurs-pompiers en France est de 13 minutes. Dans une telle situation, l’intervention de Bons Samaritains, qui peuvent être là en une ou deux minutes, fait gagner un temps précieux à la victime et augmente les chances de réanimation.

Comment ça marche ?

Lorsque les secours sont appelés pour un arrêt cardiaque, l’application mobile Staying Alive géolocalise les Bons Samaritains enregistrés à proximité, et les sollicite pour intervenir. Si un Bon Samaritain accepte la mission, les secours l’appellent pour le guider par téléphone et lui indiquer où trouver un défibrillateur.

Tous les centres de traitement des appels d’urgence ne sont pas concernés par le service du Bon Samaritain. Ce dernier a d’abord été testé en 2016 par la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP), et approuvé. Plusieurs départements français ont ensuite adopté le système à leur tour.

Comment devenir Bon Samaritain ?

Vous êtes formé(e) aux gestes qui sauvent :

Pour devenir Bon Samaritain, vous devez simplement télécharger l’application Staying Alive, disponible sur Google Play (Android) et l’App Store (iOS), et vous inscrire. Il vous sera demandé de joindre un justificatif attestant d’une formation aux premiers secours : PSC1, SST… Si les secours vous sollicitent via l’application et que vous acceptez d’intervenir, ils vous appeleront pour vous guider afin que vous effectuiez un massage cardiaque sur la victime.

Vous n’êtes pas formé(e) aux gestes qui sauvent :

Vous pouvez devenir Bon Samaritain même si vous n’avez aucune compétence de secouriste. Vous devez télécharger et vous inscrire sur l’application Staying Alive, en précisant que vous n’avez pas de qualification particulière. Si les secours vous sollicitent via l’application et que vous acceptez d’intervenir, ils vous guideront vers le défibrillateur le plus proche pour l’apporter auprès de la victime et l’utiliser.

PLUS D’INFOS SUR BON-SAMARITAIN.ORG

Principe de fonctionnement du Bon Samaritain. © bon-samaritain.org

Principe de fonctionnement du Bon Samaritain. © bon-samaritain.org

La FNSPF officiellement associée au dispositif du Bon Samaritain et à son application Staying Alive

Le 14 juin 2019, la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France (FNSPF) s’est associée officiellement au dispositif du Bon Samaritain et son application Staying Alive. Plus d’une trentaine de SDIS l’ont déjà adopté. Les sapeurs-pompiers dans le cadre de leur vie privée, ainsi que toutes les personnes formées aux premiers secours (PSC1, SST…), sont ainsi de potentiels « Bons Samaritains », tout comme les volontaires non formés ayant installé l’application qui peuvent faire gagner de précieuses minutes en apportant un défibrillateur auprès de la victime.

RETROUVEZ NOS CONSEILS DE PRÉVENTION DES RISQUES LIÉS À L’ARRÊT CARDIAQUE

FORMEZ-VOUS AUX PREMIERS SECOURS AVEC LES SAPEURS-POMPIERS

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